Les courses de chevaux en Hippodrome, est-ce terminé ?

Les courses de chevaux dans les Hippodrome deviennent-elles une industrie révolue ? Avant, les courses étaient l’unique manière de pouvoir parier pour espérer gagner beaucoup d’argent. Beaucoup venaient pour jouer de temps à autres, mais d’autres aussi ont détruit leur vie entière, voire leur famille pour pouvoir jouer des fortunes sur les paris. 

Nous avons longtemps pensé que c’était considéré comme un sport, mais les gens venaient uniquement pour parier la plupart du temps. Si les paris avaient été interdits, les Hippodromes et la discipline se seraient arrêtés beaucoup plus vite. Les clients ne se sont pas renouvelés avec le temps, il suffit de se rendre dans les derniers hippodromes pour s’en rendre compte, ce ne sont quasiment que des personnes âgées. Cet univers n’a pas réussi à séduire les nouvelles générations.

Pour explorer les meilleures plateformes et lieux pour suivre les courses, consultez notre article sur Où Regarder les Courses de Chevaux : Hippodromes et Plateformes en Ligne Recommandés.’« 

Toutefois, internet a beaucoup aidé le développement et la relance de l’industrie du pari et aussi avec les courses de chevaux. Il est aujourd’hui très simple de parier sur un match ou une course directement en ligne, sans avoir à bouger de chez soi et en regardant simplement la télévision. Par exemple, en 2009, plus de 100 millions de dollars ont été pariés sur internet.

Il faut aujourd’hui réussir à créer des événements plutôt que de présenter trop de courses régulièrement. Il faut proposer à la clientèle des machines à sous, de la loterie, etc. en plus de la course de chevaux. Attention à ne pas remplacer les paris par juste des machines ou des restaurants, sinon vous feriez fuir la clientèle. Avant, c’était presque une fête familiale, on y allait pour retrouver la famille, les amis, parier et passer du bon temps.

C’est dommage car de nombreuses personnes travaillent autour des Hippodromes, par exemple à celui de Québec, c’est plus de 3 000 personnes qui travaillaient dans cette industrie : des vétérinaires, des conducteur, des entraîneurs, des forgerons et bien sûr tout ce qui était lié à l’agricole, pour nourrir les chevaux notamment.

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Il reste encore quelques résistants pour défendre cette activité, nostalgique d’une certaine époque où les Hippodrome ont bien fonctionné au Québec. Qu’en sera-t-il à l’avenir ? Avec la montée des nouvelles générations qui ne souhaitent plus que les animaux soient utilisé, par exemple dans les cirques.

Depuis que Québec a arrêté de financer les courses de chevaux en 2009, le financement est devenu difficile à trouver pour ceux qui souhaitent maintenir les courses de chevaux. Il a fallu pour les villes se réinventer et trouver des solutions, puisque par exemple une très grosse partie des activités avaient un rapport avec l’Hippodrome de Montréal, quand il a fermé, il a fallu avancer.

C’était une grande victoire à l’époque pour les gens, qui souhaitaient que le dénouement s’arrête et que la ville passe à autre chose. Le souhait d’avoir des résidences, plus d’habitations, de meilleurs services, etc. L’hippodrome de Montréal prenait de la place. Voyons ce que ça deviendra dans les années à venir, espérons quelque chose de positif.

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